Technophobie et marketing digital : une relation mal comprise

Le marketing digital, marketing Internet ou encore Webmarketing ne sert à rien. C’est du moins ce qu’avaient en tête une part non négligeable de mes prospects au début de mon activité en indépendant. Mais ce point de vue surprenant et lapidaire subsiste malheureusement aujourd’hui dans de nombreux esprits, ainsi que les biais qui les motivent.

D’abord, une certaine technophobie reste tenace en France, y compris chez les plus jeunes générations. L’enseignement puis la formation continue, notamment dans le cadre des entreprises, n’aident malheureusement pas sur ce point. Les entreprises ont toujours considéré que l’usage de la micro-informatique, du Web et maintenant de l’intelligence artificielle allait de soi. Vous avez deux mains ? La souris et le clavier sont là, allez-y.

Néanmoins, la question de l’âge se pose parfois. Je m’amuse de temps en temps en formation de gens pourtant plus jeunes que moi, et qui m’expliquent que ça que ces choses ne sont pas pour leur génération. Mais je reconnais bien volontiers que plusieurs décennies d’évitement ne risquent pas d’aider. Cependant, les plus jeunes, soi-disant « digital natives », traînent aussi régulièrement des pieds sur ces sujets.

Je passerai rapidement sur les positions du type « Je prends ma retraite dans trois ans, alors… ». Entendez « alors je ne vais pas m’embêter avec ces histoires, mon repreneur fera comme il veut ». Ça ne va pas faciliter la vente, mais bon.

Il y a aussi les cas, ils existent encore heureusement, où l’entrepreneur me disait que sa société tourne bien depuis 20 ans, et qu’il n’a donc aucune raison de s’embarquer dans des choses qui le sortiraient de sa zone de confort, et dont il considère qu’elles n’ont pas de sens pour lui.

Les mêmes qui se sont par exemple sentis une irrépressible envie de vente en ligne et de click & collect pendant le confinement, ou de communication avec leurs clients et prospects sur les réseaux sociaux le jour où leur chiffre d’affaires amorce une baisse inquiétante. Mais ces choses-là ne se mettent pas en place en trente minutes, sans parler du délai requis pour qu’elles portent leurs fruits.

Je pourrais aussi évoquer la mauvaise place dans notre imaginaire allouée au marketing (comme un gros soupçon de mensonge et de manipulation), ou encore la confusion incroyable souvent réalisée entre vente et marketing, les deux ne bénéficiant d’ailleurs pas d’une cote d’amour fantastique dans notre pays. Napoléon parlait en son temps avec mépris à propos de l’Angleterre d’une nation de petits boutiquiers.

Vous vous reconnaissez un peu dans ce qui précède ? Et si vous remettiez ce sujet sur le dessus de la pile ?Il y a aussi les cas, ils existent encore heureusement, où l’entrepreneur me disait que sa société tourne bien depuis 20 ans, et qu’il n’a donc aucune raison de s’embarquer dans des choses qui le sortiraient de sa zone de confort, et dont il considère qu’elles n’ont pas de sens pour lui.

Les mêmes qui se sont par exemple sentis une irrépressible envie de vente en ligne et de click & collect pendant le confinement, ou de communication avec leurs clients et prospects sur les réseaux sociaux le jour où leur chiffre d’affaires amorce une baisse inquiétante. Mais ces choses-là ne se mettent pas en place en trente minutes, sans parler du délai requis pour qu’elles portent leurs fruits.

Je pourrais aussi évoquer la mauvaise place dans notre imaginaire allouée au marketing (comme un gros soupçon de mensonge et de manipulation), ou encore la confusion incroyable souvent réalisée entre vente et marketing, les deux ne bénéficiant d’ailleurs pas d’une cote d’amour fantastique dans notre pays. Napoléon parlait en son temps avec mépris à propos de l’Angleterre d’une nation de petits boutiquiers.

Vous vous reconnaissez un peu dans ce qui précède ? Et si vous remettiez ce sujet sur le dessus de la pile ?

Et si l'intelligence artificielle
devenait votre assistant personnel ?

Qu'elle vous débarassait des tâches ingrates et pénibles ?

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